Dans ce lot, Véga du Noyer (13), l’autre atout de Régis Métayer n’est pas à laisser pour compte. Que son entraineur ne puisse se mettre au sulky, cela doit bien l’embêter, lui qui avouait ne jamais la laisser à un autre. Chouchoute de son effectif, sa petite championne, face à ses aînés, si elle retrouve son niveau, ne devrait pas faire un pli. Mais c’est la théorie…
Tous les feux sont au vert concernant Ultrajem (3). Rarement déferré et sur un parcours qu’il apprécie particulièrement, il sera logiquement très en vue. Depuis que Louis Baudron l’a mis à l’entrainement chez Loris Garcia, il donne entière satisfaction. Au premier poteau, on est obligé d’y croire.
Si Un Nuage d’Osmoz (14) se rappelle qu’il est un trotteur et non un galopeur, il aura forcément une belle carte à abattre. Son premier essai sur l’hippodrome de la Cote d’Azur sera suivi avec attention.
A cagnes, quoi qu’on en dise, il est appréciable de jouer des chevaux qui courent devant. Ce sera le cas d’Uttingeois (9). On le sait, son driver est un adepte de cette tactique de course. Il a le cheval pour, entre les mains. Un roc. Moins cela amusera la galerie devant, plus il sera à l’aise, et plus grandes seront ses chances de faire l’arrivée.
Déferré des quatre pieds pour la première fois en carrière, Titan d’Abo (6) devrait avoir un rôle à jouer. Lui aussi à changer de maison récemment et s’en sort bien sous la férule de Nicolas Ensch. Plutôt performant à Cagnes, il peut figurer utilement.
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